Au-delà du bilan, les propriétaires de petites entreprises canadiennes s'adaptent et prospèrent pendant les périodes difficiles, et ils entrevoient de grandes possibilités.
Télécharger le rapportCertains des aspects les plus importants de la possession et de l'exploitation d'une petite entreprise sont ceux qui n'apparaissent pas dans le bilan. Les comptes de résultats ne tiennent pas compte de l'ardeur. Chez Driven, nous reconnaissons que pour mieux servir les petites entreprises canadiennes, nous devons prendre le temps de comprendre ce que les propriétaires, leurs équipes et leurs familles vivent réellement. Et comment ils s'adaptent, survivent et prospèrent à leurs propres conditions.
Chaque jour, lors d'appels téléphoniques et de discussions de support, nous entendons parler des opportunités et des défis auxquels nos clients sont confrontés, mais il peut être difficile de saisir ou de quantifier les conditions économiques uniques d'aujourd'hui à un niveau plus large ou macro. Le mois dernier, nous avons contacté un groupe restreint de nos clients pour leur demander directement à quoi ressemble leur vie aujourd'hui, plus de deux ans après le début d'une pandémie mondiale, ainsi que des luttes continues contre l'inflation, les problèmes de chaîne d'approvisionnement, la guerre, etc.
En lisant les réponses honnêtes et ouvertes de près de 150 propriétaires, nous avons été stimulés par les histoires qu'ils nous ont racontées. Ces deux dernières années ont été difficiles et chaque propriétaire a besoin que les choses changent à sa manière, mais nous voyons de véritables raisons d'être optimistes en ce qui concerne les plus petites entreprises canadiennes. Il s'agit du genre d'entreprises souvent négligées par la recherche et le soutien, où le propriétaire est soit le seul exploitant, soit le chef d'une petite équipe, et où il est parfois impossible de s'absenter ou de faire appel à un soutien supplémentaire. Pourtant, elles trouvent toujours le moyen d'être innovantes et de garder un œil sur les opportunités futures.
Les propriétaires nous ont dit qu'ils avaient besoin de meilleures structures de soutien, de meilleurs outils financiers et de meilleurs conseils en matière de leadership au niveau micro. Une fois ces éléments en place, les propriétaires de petites entreprises canadiennes sont prêts à réaliser de grandes choses, dès maintenant.
Certains des aspects les plus critiques de la possession et de l'exploitation d'une petite entreprise sont ceux qui n'apparaissent pas dans le bilan. Chez Driven, nous avons demandé aux propriétaires de petites entreprises canadiennes à quoi ressemble la vie pour eux en ce moment. En lisant les réponses honnêtes et ouvertes de près de 150 propriétaires, nous avons été stimulés par les histoires qu'ils nous ont racontées.
Télécharger le rapport"C'est très solitaire au sommet. Même le personnel (présent dans l'entreprise depuis 30 ans) ne comprend pas ce qu'il faut pour diriger une entreprise, quelqu'un qui peut partager le poids des problèmes quotidiens."
"Les petites entreprises ont besoin d'un accès plus facile au financement sans dépendre du seul propriétaire pour fournir un historique de crédit."
"L'après-covid a introduit une toute nouvelle perspective sur l'activité dans laquelle nous évoluons. Où sont passés tous les employés talentueux ? Les augmentations de salaire constituent également un nouveau défi, car il faut veiller à ce que le personnel soit payé à sa juste valeur et que nos services ne soient pas hors de portée des clients. Bien que nous soyons un prestataire de services de luxe, même nos clients ont leurs limites financières."
"Le coût des loyers crève le plafond. Nos concurrents se livrent à une concurrence déloyale. Cette situation n'est pas viable pour l'avenir de mon secteur. Les coûts des marchandises montent en flèche."
"Les paiements sont plus lents, les matériaux sont plus difficiles à obtenir et la bonne main-d'œuvre est difficile à trouver."
"J'aimerais que ce ne soit pas le cas, mais mon activité est tellement spécialisée que je dois mettre la main à la pâte la grande majorité du temps. Je préfère donner la priorité à ma vie de famille."
"Nous avons ouvert pendant le pic de la 2e vague du COVID et avons dû pivoter plusieurs fois. Cela nous a permis de pouvoir continuer à pivoter ou à étendre notre champ d'action et de nous développer de manière significative. Nous sommes devenus plus autonomes, ne dépendant plus de l'affacturage de factures pour payer les employés, et nous avons même versé quelques dividendes au début de notre troisième année fiscale."